Le Quiet Quitting : la nouvelle disruption qui pourrait devenir un sujet majeur de soucis pour les DRH
D’abord que se cache-t-il derrière cet anglicisme (dont nous nous sommes faits déjà plusieurs fois écho) ?
Aussi appelée la démission silencieuse… C’est refuser de placer son activité professionnelle au centre de ses préoccupations. Un collaborateur adepte de cette stratégie ne fera pas plus que son horaire contractuel, pour préserver sa vie personnelle, sa santé mentale et ne pas tomber victime de stress. On ralentit la cadence, en s’en tenant uniquement à ce qui est nécessaire et obligatoire.
Quelle est l’origine de cette attitude ?
- Manque de reconnaissance liée au travail réalisé
- Manque de considération financière
- Management qui manque de bienveillance
D’où une baisse de motivation, une baisse du taux d’engagement et par conséquent une chute de productivité.
D’où vient la « mode » du quiet quitting ?
Comme bien d’autres modes de travail, des États-Unis. Ce phénomène a été accentué par la crise sanitaire et la généralisation du télétravail. De plus la jeune génération est bien moins motivée par le travail, tout en étant attentive au bien-être procuré par celui-ci.
Des éléments du workplace à privilégier pour trouver une parade à ce phénomène et fidéliser ses collaborateurs :
- Des modes de travail hybrides et des aménagements en flex office
- Une expérience collaborateur augmentée et office as a service
- Une atmosphère de confiance favorisée par un management bienveillant et un coaching cohérent
- Ne pas hésiter à célébrer les wins
- Travailler en projets et offrir une chance égale à chacun de piloter un projet
Chez ADP Group, nous pensons que vos bureaux peuvent devenir un levier formidable de transformation de votre entreprise et qu’une stratégie d’aménagement responsable peut libérer la croissance de celle-ci.
Par Joël Roncoroni
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Fondateur d’ADP Group
Expert de l’environnement de travail